mardi 31 mai 2016

My Japan trip in Tokyo (part 1)


Notre seconde expérience nippone, 4 ans après avoir découvert le Japon en 2012.
Cette fois-ci, nous avons décidé de passer une semaine entière à Tokyo, de vivre comme des Tokyoites et de fait, nous avons fait le choix de louer un appartement. Petit certes, comme très souvent au Japon, mais bien situé entre Shinjuku et Shibuya, à Kitasando très exactement.
L’appartement était coquet, en duplex, avec une mini terrace fort appréciable pour prendre le petit déjeuner dehors.




Nous sommes arrivés à Tokyo le 21 Mai (ca vous dit quelque chose ? J ), après la saison des hanami (cerisiers en fleurs) mais c’est délibéré, nous voulions éviter les touristes et les surcharges dues à la saison. Et bien nous en a pris puisque nous étions souvent les seuls étrangers dans les restos, et nous avons eu un temps formidable, ensoleillé et doux.

Avant toute chose, il nous fallait faire quelques courses, de quoi faire un petit déjeuner correct. Chose facile puisqu’on peut trouver au Japon des Konbini à chaque coin de rue. Ce sont de petites épiceries pourvues de produits de consommation courante (snacks, bento, boissons, journaux, produits ménagers, hygiène…). Ils proposent aussi de très nombreux services comme par exemple photocopie, envoi de fax, réservation de spectacles ou d'hôtels, relais de sociétés de vente par correspondance, payer ses factures de téléphone ou d’électricité. C’est super pratique d’autant qu’ils sont ouverts jusque tard le soir et approvisionnés plusieurs fois par jour, donc aucun soucis de fraicheur.

Mais déjà notre estomac criait famine et nous tentons un resto dans le quartier. Une seule condition : un menu en anglais. Pas si simple que ça à vrai dire, sachant que le quartier n’est pas touristique. Ce sera d’ailleurs un des problèmes rencontrés lors de notre séjour.


Nous nous décidons pour un resto italien (ah oui, je vous entends déjà lever les yeux au ciel et crier au scandale que c’est une hérésie de manger italien dans un pays riche d’une gastronomie si variée et délicieuse – je ne relèverai pas, mea culpa – et puis on s’est rattrapé par la suite). 
Le resto est plein, uniquement des japonais, et je négocie ferme avec la serveuse pour avoir une toute petite table pour deux, fais mes yeux de chien battu en disant que c’est mon anniversaire – c’est gagné.
Le personnel est adorable mais ne bredouille que 2 / 3 mots d’anglais et la carte se résume à ça :

Finalement nous commandons comme la table d’à côté, ce qui se rapproche d’un filet de bœuf wagyu, ce bœuf fameux et réputé au Japon.

Une salade et un peu de charcuterie. Leur pain est une tuerie avec une mousse de beurre à tomber.
Et au dessert (une portion énorme de tiramisu), l’équipe arrive en groupe en poussant la chansonnette en japonais – clic clac petite photo qu’ils m’offriront au moment de partir.




Le lendemain matin, nous nous sommes fait réveiller aux aurores à 4h30 du matin. Grand soleil dans la chambre. Les nuits vont être courtes. Note pour demain : prévoir le masque pour dormir plus longtemps.

Petit dèj’ en terrace – trop chouette. Puis direction le quartier de Harajuku (à une station de métro de chez nous), réputé pour ces jeunes Tokyoites habillés en cosplays le dimanche et la rue Takeshida Dori. 



Nous nous perdons dans les petites rues en direction de Omotesando. 



Les gens sont bien habillés, toujours dans une recherche d’esthétique, soucis du détail; choix des accessoires. Bref à 1000 lieux des Singapouriens.


Pour le déjeuner, nous tentons un minuscule resto dans un sous-sol. Tout est en bois, minimaliste. La carte ne propose que 3 plats (mais a le mérite d’être en anglais). Je me lance et passe la commande en japonais. Pas mal pour un essai, la serveuse a compris. Nous choisissons un don avec poissons emincés (thon, saumon et oeuf de poisson sur un lit de riz vinaigré). C’est délicieux.



Un peu de shopping avant de rentrer et farniente à l’appartement, car ça aussi ca fait partie des vacances.
Vous allez vite vous en rendre compte, la nourriture est très présente au Japon. Bien manger, faire plaisir à ses papilles et du bien à son corps est primordiale. Donc inévitablement, nous étions tous les jours en quête de bons restos (sans toutefois tenter des experiences bizarres, nous n’étions pas prêts à tout) et moi l’appareil photo à porter de main pour vous faire partager toutes ces bonnes choses.


Au programme de ce dimanche soir, un sushi bar très sympa avec du poisson cru à se damner.


Ca nous a tellement plu que nous y sommes retournés à trois reprises. La 3ème fois les maitres sushi nous ont accueilli avec un grand sourire, l’air de dire “revoila les petits Frenchies”.
En résumé voici les plats que nous avons testés:

Set de sushis avec différents types de thon (JP’s favorite)

Sushis variés pour moi pour tester un peu de tout: tamago (omelette), saumon, seabass, algues, temaki concombre,…

Tuna donburi

Chirashi donburi

es maitres sushis qui font les clowns (et oui, les japonais sont plutôt bons vivants).


Et puis histoire de se mettre très vite dans l’ambiance, je m’étais programmé un cours de cuisine chez une jeune chef japonaise qui donne des cours de cuisine en petits groupes dans son appartement. 

En ce lundi matin, je me rends donc chez elle (dans le même quartier) avec beaucoup d’enthousiasme. J’avais convenu du menu à l’avance, je souhaitais préparer un dinner traditionnel que les Japonais ont l’habitude de faire chez eux le soir, un dinner de tous les jours facile à préparer après le boulot. Quelque chose que je pourrais refaire à la maison tout en restant dans les saveurs nipponnes. Les sushis, sashimis et autres tempuras utilisent des ingrédients assez couteux et sont réservés aux occasions particulières.
Chez Mayuko, je rencontré James qui sera mon compagnon durant ce cours.
Mayuko a étudié la cuisine mais ce n’est que très récemment (1 an environ) qu’elle a décidé de créer son business chez elle. Elle parle parfaitement anglais, ce qui facilite les échanges.


Au menu: préparation du bouillon dashi (bouillon de konbu et de bonite séchée, qui constitue la base de la cuisine japonaise), soupe miso, petite entrée japonaise à base de fish cake), filet de saumon en papillotte avec des légumes, potiron mijoté avec des haricots rouges, riz. Et en dessert Mayuko nous a offert une glace à la vanille maison saupoudrée de poudre matcha.


Tout était delicieux et finalement plutot facile à realiser après avoir bien identifié tous les ingrédients.
Je prévois déjà de faire quelques emplettes au supermarché japonais le week-end prochain.





A suivre…

vendredi 20 mai 2016

Pain santé au yaourt, noix variées et raisins secs


Allez ! une petite recette de pain facile à faire à la MAP, pour se mettre en condition avant le week-end.
C’est un pain vraiment santé, avec un mix de farine semi-complète et blanche, du yaourt pour le moelleux et un assortiment de noix pour l’énergie.
Je n’ai mis que 2 cuill. à  café de sucre, donc cela se sent à peine, mais si vous êtes plus bec sucré, vous pouvez bien sûr augmenter la quantité.

Ingrédients (pour un pain de 750g)

-  200 g de farine semi-complète
-  225 g de farine blanche T65
-  50 g de poudre d’amande
-  140 g de yaourt nature
-  1 cac de jus de citron
-  170 ml d’eau
-  1 cac de sel
-  2 cac de sucre
-  1,5 cac de levure de boulanger déshydratée
-  50 g de noix variees (noix de Grenoble, noisettes, pistaches,…)
-  25 g de raisins secs


Dans la cuve de votre MAP, versez l’eau, le yaourt, le sel d’un côté et le sucre de l’autre.
Ajoutez alors les farines mélangées d’un coup, puis la levure.

Placez les noix concassées et les raisins secs dans le réceptacle prévu à cet effet (ou à défaut sur la farine).



Sélectionnez le poids de votre pain (750g en l’occurrence) et la croute désirée puis lancez le programme pain sucré (P6 pour la Kenwood).



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